Le rappeur américain a choisi pour pseudonyme, le nom d’un trafiquant de cocaïne très connu à Los Angeles. Dans les années 90s, il est, pour un temps, gardien de prison, ce qui a terni un peu son image de dur à cuire, qu’il souhaite garder.
Pour affirmé son côté bad boy, Rick Ross cultive son côté « dark » grâce à ses frasques bien sûr mais aussi au travers de ses nombreux tatouages, qu’il arbore fièrement depuis l’âge de ses 15 ans. Et ce malgré son corps d’obèse en puissance.
Au nombre de ceux-ci, on peut en compter, selon ses dires, une centaine. Mais ce n’est pas la quantité de dessins qui le distingue mais le genre de tatouage qu’il possède.
- Le portrait de quelques présidents sur son torse par exemple : George Washington, Abraham Lincol, Ulysses S. Grant ou encore le Président Obama sous son bras gauche ainsi que celui de George W. Bush sur l’autre.
- Un tatouage tribal sur le bras gauche ainsi que des inscriptions japonaises.
- Une croix sur le ventre.
- Des noms en quantité : de politiciens, trafiquants de drogue : Wayne Parker, Brown Lee, Bunkie Brown, Kenneth Williams, Pablo Escobar, Manuel Noriega… Le sien aussi.
- Et dernièrement, le nom d’une marque de lunettes sur son visage : Cazal Eyewear ainsi qu’une couronne sur son pouce gauche.